Chasse à Tours (2004)

Ceci est mon second roman (2004)

Voici le second volet des (més)aventures de Charles Wenz...

Le thème sous jascent de cette histoire pourrait être : "la non communication empêche tout"! Tout le monde cherche la même chose, mais chacun de son côté et pas toujours d'une manière efficace, ce qui engendre des conséquences assez catastrophiques pour certains... Cette fois, outre le thème de la chasse à l'arc (qui me passionne), j'y parle aussi d'un autre de mes hobbies : la moto. Fan d'Harley-Davidson , je rêve d'en posséder une un jour. En attendant, j'ai fait de ma moto préférée, une espèce de personnage du livre, piloté par le Commandant de police Oscar Kerlok!... Encore un de mes amis dont j'ai trafiqué le nom. Il s'appelle bien Kerlok, mais l'orthographe est différente et bien sûr, ne se prénomme pas Oscar...

Toujours soucieux d'emmener le lecteur dans des lieux peu ouverts, j'aborde ici le thème de la franc-maçonnerie, ayant eu l'occasion de visiter certaines loges, lors d'opérations "portes ouvertes" organisées à Tours. L'exposition maçonnique du château de Tours en 1997 m'a également beaucoup aidé.
J'ai placé des immeubles stratégiques comme une agence de détective privé au 25 de la rue du Cygne à Tours ; poussez la porte cochère de l'adresse indiquée (ce n'est pas interdit), vous y découvrirez in situ la cour renaissance que je décris dans le livre... Une scène se passe dans une maison de la presse de l'avenue de Grammont, j'y décris un quidam qui achète des tonnes de billets à gratter, cette scène est vraie, j'y ai assisté dans la maison de presse en question...

Dans "Chasse à Tours", je me suis attaché à emmener le lecteur à travers cette ville que j'aime et particulièrement dans des quartiers qui me tiennent à coeur, souvent les plus vieux ... L'atelier de restauration de cadres (au Roi Soleil) existe bel et bien et la dame à la blouse blanche maculée qui y officie m'y a toujours accueilli gentiment à chaque visite-discussion que je lui ai imposée pour les besoins du manuscrit... Je ne vous parle pas des restaurants et des pubs ; bien sûr que je suis allé y consommer avant que d'en parler dans l'histoire (comme toujours)...

Pour ce qui est des personnages, l'on assiste à l'apparition (encore timide) du lieutenant de police Thierry Guillaume dont on connaitra tout, ou presque dans le livre suivant.

Techniquement parlant, j'ai beaucoup progressé en héraldique à la rédaction de ce manuscrit. La couverture a, elle aussi, une anecdote : Il s'agit de la rue Briçonnet, dans le vieux Tours. jamais vous ne verrez cette rue comme sur la photo. en effet, elle est toujours encombrée de poubelles!... Lorsqu'Oscar Kerlok (continuons à l'appeler ainsi) a fait la photo, j'avais déplacé toutes les poubelles de la rue jusqu'après le virage que l'on aperçoit au fond et je bloquais les touristes de façon à n'avoir personne sur le cliché. J'ai du recommencer l'opération trois jours de suite, n'étant pas satisfait des clichés pris les deux soirs précédents... Comme quoi même l'ébouage peut mener à l'écriture...