"Meurtres à Monnaie" a été imaginé en 1999, terminé en 2001 et édité en ...2003!
Le lecteur y découvre ceux qui deviendront mes anti héros récurrents : Charles Wenz et Maud Choucry de Roquefeuille.
Ici, j'ai voulu faire entrer le lecteur dans les manoirs et châteaux (Touraine oblige) de Monnaie et d'ailleurs... C'est dans ce cadre, où évoluent des gens souvent fortunés, toujours de vieilles souches, que se déroule l'intrigue... J'ai étudié l'histoire de Monnaie pour construire cette intrigue...
"Meurtres à Monnaie" est un policier intemporel, même si l'histoire se situe de nos jours. Pour marquer cela, j'ai parlé du chant des coucous au mois d'octobre (les coucous ne sont plus là en cette saison, quoi que, avec nos perturbations climatiques, on peut, maintenant s'attendre à tout!) ainsi qu'une couleuvre chassant quelque batracien... sur un sol gelé!... Bref, c'est à l'aide de tous ces petits détails anachroniques que j'ai voulu marquer l'intemporalité de l'histoire. Pour le reste toutes les descriptions sont vraies au bouton de porte près.
Techniquement parlant, pour la scène du cambriolage du château de Cheverny, j'ai fait appel à un directeur de société de surveillance qui, sans me divulguer les ficelles, m'a quand même donné une base très succinte en me communiquant un temps très approximatif de réaction des forces de gendarmerie après l'effraction. Je suis donc allé visité plusieurs fois l'endroit choisi. D'abord pour chronométrer les temps de déplacement de mon cambrioleur virtuel, puis une seconde fois pour me pénétrer de l'ambiance et noter les objets remarquables susceptibles d'être décrits dans mon texte (pour l'objet du cambriolage, j'avais déjà, bien entendu ma petite idée) et une troisième fois, uniquement pour le parc, afin de déterminer l'arrivée (de nuit) de mon cambrioleur et sa fuite précipitée après son larcin... La visite de la meute m'a été également précieuse...
Je disais plus haut que toutes mes descriptions étaient vraies cependant, je suis parfois obligé d'inventer un lieu. Par exemple, j'avais situé la demeure du notaire : Philippe Mureau, dans un château existant à Monnaie... Malheureusement, le propriétaire m'a refusé l'autorisation de citer son domaine (et oui, c'est ainsi, lorsqu'on décrit un endroit réel, il faut demander l'accord écrit du propriétaire ; c'est indispensable!!!) C'est ainsi qu'est né le château de Valmoutiers, qui n'est bien entendu pas situé au même endroit que le château original... Ne cherchez donc pas Valmoutiers, si vous venez à Monnaie, il n'existe pas! pour le reste, vous trouverez absolument tous les bâtiments et propriétés rencontrés au cours de l'histoire.
Ici, j'ai voulu faire entrer le lecteur dans les manoirs et châteaux (Touraine oblige) de Monnaie et d'ailleurs... C'est dans ce cadre, où évoluent des gens souvent fortunés, toujours de vieilles souches, que se déroule l'intrigue... J'ai étudié l'histoire de Monnaie pour construire cette intrigue...
"Meurtres à Monnaie" est un policier intemporel, même si l'histoire se situe de nos jours. Pour marquer cela, j'ai parlé du chant des coucous au mois d'octobre (les coucous ne sont plus là en cette saison, quoi que, avec nos perturbations climatiques, on peut, maintenant s'attendre à tout!) ainsi qu'une couleuvre chassant quelque batracien... sur un sol gelé!... Bref, c'est à l'aide de tous ces petits détails anachroniques que j'ai voulu marquer l'intemporalité de l'histoire. Pour le reste toutes les descriptions sont vraies au bouton de porte près.
Techniquement parlant, pour la scène du cambriolage du château de Cheverny, j'ai fait appel à un directeur de société de surveillance qui, sans me divulguer les ficelles, m'a quand même donné une base très succinte en me communiquant un temps très approximatif de réaction des forces de gendarmerie après l'effraction. Je suis donc allé visité plusieurs fois l'endroit choisi. D'abord pour chronométrer les temps de déplacement de mon cambrioleur virtuel, puis une seconde fois pour me pénétrer de l'ambiance et noter les objets remarquables susceptibles d'être décrits dans mon texte (pour l'objet du cambriolage, j'avais déjà, bien entendu ma petite idée) et une troisième fois, uniquement pour le parc, afin de déterminer l'arrivée (de nuit) de mon cambrioleur et sa fuite précipitée après son larcin... La visite de la meute m'a été également précieuse...
Je disais plus haut que toutes mes descriptions étaient vraies cependant, je suis parfois obligé d'inventer un lieu. Par exemple, j'avais situé la demeure du notaire : Philippe Mureau, dans un château existant à Monnaie... Malheureusement, le propriétaire m'a refusé l'autorisation de citer son domaine (et oui, c'est ainsi, lorsqu'on décrit un endroit réel, il faut demander l'accord écrit du propriétaire ; c'est indispensable!!!) C'est ainsi qu'est né le château de Valmoutiers, qui n'est bien entendu pas situé au même endroit que le château original... Ne cherchez donc pas Valmoutiers, si vous venez à Monnaie, il n'existe pas! pour le reste, vous trouverez absolument tous les bâtiments et propriétés rencontrés au cours de l'histoire.
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